« this very efficient work could fit in a techno dance as in a contemporary art museum. The music and the image are totally embedded. No one could say which one came first, which one lead to the other. This program of works by Maxime Corbeil-Perron was both moving and captivating, both contemplative and danceable. » – NEOMEMOIRE
«Furious deconstructed textures meet up with a frenzy of glitched-out geometries in the AV set of Maxime Corbeil-Perron [Montreal CA] – spaced nicely into a set of acts, each gorgeous» CDM Links
«Hypnotic A/V onslaught» – FACT magazine
«a reminder of early, lo-tech experiments into altered perceptions, a cardboard pair of 3D glasses. Composer and audio-visual artist Maxime Corbeil-Perron’s jagged projections of grids and flashing lines poke out into the auditorium in time with his industrial electronic score» – The Quietus
«une esthétique futuriste misant sur les trois dimensions, cadencé par une musique électronique qui se fond dans les pulsations des images. Effets stroboscopiques, formes géométriques mouvantes et colorées sont au rendez-vous […]un délire psychédélique vertigineux qui multiplie des impressions visuelles hallucinantes : il mène les spectateurs/trices vers une exploration sensorielle de soi, imprégnée par l’éventail complexe des images projetées à l’écran…»-Anne-Sophie Trottier
«Montreal composer and sound artist Maxime Corbeil-Perron—who also works extensively with moving images—delivers two instinctive works on this richly nuanced album, one fully composed, the other improvised (but with a rigor that might suggest he’d written everything). “Cubic” is an acousmatic piece—a purely electronic work that can only be presented through loudspeakers, rather than actively performed—and it draws upon samples from old vinyl records as raw sound objects, although he lassoed surface noise rather than actual music, and while it embraces techno roots, this work eschews any easy stylistic tag. Corbeil-Perron crafts a dynamic series of events and elements—tiny squiggles, quasi-orchestral swells that conjure deep space, and violent sound flashes—to create an almost filmic journey. The seven movements of “Polychrome” were improvised during a residency at Signal Culture in Oswego, New York, and it’s tough to determine the provenance of the fast-moving vignettes with a more austere design than the opening piece, but they’re no less exciting and physical.» – Best of Bandcamp contemporary classical, February 2018
«La pièce de Maxime Corbeil-Perron portait un soin particulier à fondre un univers dans un autre. Au début marqué par une déflagration, les enchaînements et sonorités étaient ensuite plus minutieux, appuyés sur une rythmique sourde, pas des percussions claires mais des descentes graves emportant des changements progressifs de paysages par vagues. […] Mention spéciale sur l’ensemble du programme de la soirée.» -art.factstories
«…glitch, ambient and minimal techno with a touch of house music. Dresden’s recording are certainly worth exploring and discovering. » -Polyphonia
«Techno allemande ? Ambiant ? Musique concrète ? le montréalais Dresden sort un EP torturé | trituré très intéressant.» -Musique de Chambre
«L’album révèle un sens du rythme absolument génial, faisant croiser par exemple du «glitch» avec des percussions africaines comme s’il n’y avait rien de plus naturel» -Le Canal Auditif, Top 20 premiers albums de l’année 2015
«Un gros oui pour l’énergie, les loops, les beats et le minimalisme tout en restant original.» -RREVERB
«Dès la première écoute, ça ne prend que quelques secondes pour apprécier le savoir-faire derrière la production; c’est superbement espacé, c’est propre comme du techno minimaliste, et sale comme de l’expérimental. Bref, il y en a pour toutes les oreilles (numériques). 7.5 /10 » -Le Canal Auditif
«When the track returns to the beginning, it offers a sense of completion; this is one of the most accomplished beat-driven tracks of the summer, even without a remix. An EP is not enough; we want more.» -A Closer Listen, USA
«formed by microwaved beat culture of Lapalux and Aphex Twin’s listener endurance trials. The shower of royal sounds soon becomes a barrage, forcing the listener underwater with flaring sunrise synths and a diamond vault’s worth of glittering chimes.» – Chartattack, Ca
«The music seems always just beyond the mind’s ear. The most confrontational piece, “Vertiges” (2012), is designed as an aural reflection of vertigo, yet it contains moments of surprising tenderness, like the hand on the wall, steadying the body. Like his influences, Corbeil-Perron offers beauty as an entry point; once the listener is inside the composition, the composer is free to experiment. The greater the dynamic contrast, the deeper the impression…» – A Closer Listen, USA
ACL 2014: THE YEAR’S BEST ALBUM COVERS
La Folia : EA BUCKET 21.
« The best ea defies explanation and labeling. We find ourselves in a world where the familiar takes on varying expressions. Corbeil-Perron juggles recorded and synthesized sounds magnificently. I was transfixed throughout Katharsis, losing track of beginnings, middles and ends.» La Folia, UK
«C’est de Montréal, une nouvelle fois, que nous arrive un opus d’electroacoutisque au pouvoir saisissant, élaboré par Maxime Corbeil-Perron et intitulé Katharsis. Regroupant des travaux réalisés entre 2010 et 2014, les 5 titres + 1 radio-edit (dispensable) sont le reflet d’une petite partie du travail de l’artiste, qui oeuvre aussi pour le cinéma expérimental, et dont les textures déployées ici, semblent en être le prolongement et le miroir, de par ses ambiances aux images instables et aux flous incessants, enrobées de parasitages auditifs divers et de field recordings injectés au coeur de machines aux agorythmes ambient, étranges et envoûtants.» Silence and Sound, Fr
“Maxime CORBEIL-PERRON, un des initiateurs du collectif [Kohlenstoff], propose une musique plus linéaire, plus cosmique (une sorte de musique des sphères) et évanescente, parfois heurtée voire étourdissante (Vertiges) pour laquelle il use aussi d’instruments acoustiques (le cor dans Fragments, les saxophones ténor et soprano dans Wise Constellations) à côté d’instruments inventés (tel l’orgue de sirènes conçu par Jean-François Laporte) pour compléter la palette des sonorités électroniques.” Revue & Corrigée, Fr
“En somme, l’album est truffé de beaux moments aux résonances poétiques, et on remarquera une confection très homogène, fluide, où chaque pièce porte clairement la griffe du compositeur tout en étant subtilement distinguable : Vertiges par les sonorités de l’orgue de sirène, Atomes par ses sons électroniques, Anti par sa forme, son équilibre et sa balance et Wise Constellations pour sa tendresse. Un album qui mérite d’être réécouté.” -Ether Real, Fr
«In “Katharsis”, frame dopo frame, traiettorie sideree si muovono nello spazio (interstellare o submarino) dell’immensamente vacuo.» Altrisuoni, It